TATOO
Sempter
Vitae Luctus
Sodales
Depuis toujours, le tatouage m’attire, malgré les réticences familiales. C’est durant le confinement — une période d’introspection et de création — que j’ai commencé à dessiner des flashs et à m’intéresser sérieusement à cette forme d’expression. Puis j’ai franchi le pas.
Après avoir réalisé trois tatouages en hand poke, j’ai investi dans une machine à bobine, ce qui m’a permis d’explorer une nouvelle approche du geste et du rendu.
La majorité des motifs que je porte ont été dessinés par moi-même, les autres ont été choisis pour leur signification personnelle. Chaque tatouage est lié à un moment de vie, une leçon, ou une émotion marquante. Pour moi, le tatouage est un acte artistique intime, un moyen d’ancrer physiquement l’invisible, de donner forme à ce qui construit une identité.
(Disclaimer : Ces tatouages ont été réalisés de manière amateur. Je tiens à souligner l’importance de respecter des conditions sanitaires strictes et professionnelles lorsqu’on se tatoue soi-même ou autrui.)
- Mes trois premiers tatouages ont été réalisés en hand poke, une méthode artisanale où l’on pique la peau point par point à la main. Le résultat donne un trait plus organique, texturé, et légèrement irrégulier, ce qui lui confère un certain caractère.
- Les tatouages suivants ont été faits à la machine à bobine, pour une question de rapidité, de régularité du trait, et de confort sur des motifs plus détaillés.
- Tous mes tatouages sont réalisés en noir et blanc, avec un usage très limité des zones pleines. Le style reste graphique, épuré, et narratif, proche du croquis ou de la gravure.
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